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Ancelet pose la bonne question : (p. 44-voir bibliographie)

"Si l'on peut prévenir cancer et sida par des reformes sanitaires, sociales, économiques, politiques, si on peut les guérir par des thérapies alternatives, pourquoi ne le fait-on pas ?"

Et à la page 45 : "En 1995, le monde entier commémorait l'anniversaire de la disparition de Louis Pasteur. S'agissait-il d'honorer la mémoire d'un homme, ou de préserver les intérêts d'une multinationale ?" Pour arriver à la conclusion (p. 46) : "La médecine du vingt et unième siècle ne sera pas pasteurienne ..."

Je donne raison à Eric Ancelet : dans la vision de Louis Pasteur, privé depuis l'âge de 46 ans de son cerveau droite, de son intuition féminine, de son sens synthétique, notre organisme est le champs de bataille entre de méchants microbes et de non moins méchants médicaments ; l'issue de cette bataille est ou la survie ou la mort. Nous n'y sommes même pas acteurs. Or, il s'agit de notre survie ou de notre mort.

Je n'en veux pas, de cette vision là. Elle ne nous permet pas de vivre en paix avec nous-mêmes. Elle est génératrice de maladies.

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